Dans un ouvrage qui paraît ce mois-ci et dont on lira ci-dessous des extraits (1), Michel Beaud propose une réflexion sur les rapports entre l’économie et la société, entre la Terre et les hommes, entre ceux-ci, leurs œuvres et leurs déprédations. Face aux signes de la fin d’un monde, il esquisse des perspectives et des propositions d’action.
(…) Toute mutation économique signifie, sauf pour les pays qui se résignent au déclin, non seulement destruction, mais aussi création d’emplois. De même, l’émergence de nouvelles technologies s’est toujours accompagnée d’une accentuation de la division du travail, qui engendre de nouvelles activités et de nouveaux emplois. Rien, là, qui permette d’entrevoir la fin du travail. A l’inverse, il y a au moins trois raisons déterminantes pour que le travail demeure, encore pendant des décennies et probablement des générations, une composante majeure de nos sociétés.
= Type de document : Article.
= Titre : Quels sacrifices pour le temps libéré ?
= Auteur : Michel Beaud.
= Langue : Français.
= Paru en : Octobre 1997
= Edité par : Le Monde diplomatique, Paris, France.
= Format : / (la 29ème page)
Voir plus : Quels sacrifices pour le temps libéré ? (Le Monde diplomatique, octobre 1997) (monde-diplomatique.fr)